Les photographes du studio Henri Manuel, qui répondent à une commande du ministère de la Justice, n’ont pas accès à tous les bâtiments. Aucune scène de punition n’est photographiée : on ne voit pas la « salle de bal », où les détenus doivent marcher en rond cinquante kilomètres par jour, la montée de sacs de sable depuis la plage, l’intérieur des cachots, les coups…





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